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Dans les règles
de l'art, on joue avec un pantalon blanc, des bottes fauves,
des genouillères (attention les chocs!), un maillot
aux couleurs de l'équipe, un casque spécial
polo, un maillet (bambou ou carbone).
Pour le cheval, une selle
anglaise fait l'affaire (un siège assez plat, c'est
mieux), une sursangle, de larges semelles d'étriers
(pour une meilleure assise du pied), protections (guêtres
ou bandes de polo), queue relevée (nouée ou
tressée), crampons postérieurs en option. |
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Premier obstacle à franchir
: se familiariser à pied avec le maniement du maillet
et les différents coups à porter.
Ensuite, reproduire tout ceci à cheval en travaillant
seul les balles, la frappe et les passes aux trois allures.
Taper juste, même à l'arrêt n'est pas évident
!
Puis vient le travail en groupe pour apprendre à saisir
ou conserver la balle en mêlée, contrer les coups
de l'adversaire .. pour tirer long et droit dans les buts.
Et, au début, ce n'est pas gagné ! |
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Les matches se déroulent
sur un immense terrain (275 m de long x 145 m de large) flanqué
de deux buts (poteaux haut de 3,10 m, espacés de 7,5
m) à chaque extrémité.
La rencontre se déroule sur 6 ou 8 chukkas (périodes
de jeu de 7 minutes 30 chacune) entre deux équipes
de 4 joueurs. |
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Pour un déjà bon
cavalier, autonome dans l'assiette, l'équilibre et
les aides, qui a le sens du jeu et l'esprit d'équipe. |
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Le criollo
argentin est bien sûr idéal, mais on peut se
faire plaisir avec un cheval pas trop grand, costaud, rapide,
franc (foncer dans le tas peut intimider), réactif
mais calme, endurant. |
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Le paddock-polo est une variante de polo
avec pour seules différences un terrain plus restreint
(115 x 55m), trois joueurs par équipe et deux périodes
de jeu de 10 minutes chacune.
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Les sensations sont les mêmes
pour débuter dans ce sport et trouver un club qui
le pratique est relativement aisé (173 clubs répertoriés
à la FFE).
Infos : http://www.francepolo.com
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