La production du miel et de la cire a de tout temps
constitué une occupation subsidiaire appréciable chez le
paysan landais, d'autant que la bruyère erica cinerea très
mellifère et très abondante dans les Landes forestières,
favorisait grandement l’apiculture.
Dès 1880, celle-ci prend un essor prodigieux. Le temps héroïque
où l’apiculteur landais bricolait à ses "bournacs"
(ruches) était révolu, en attendant que la ruche standard
révolutionne l'apiculture et que la science naturelle apporte des
données nouvelles.
L’apiculture landaise suivit le progrès. En 1930, il y eut
quelques producteurs qui possédaient de 800 à 1 000 ruches.
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